
Il était une fois un monde magique bien loin des sièges désormais économiques et des cacahuètes de voyage modernes à 5 $. C’était quand les gens quittaient leur pantalon de survêtement et arrivaient à l’aéroport de luxe vêtus de leur plus beau dimanche.
Parmi ces jets brillants, ils ont levé leurs jambes vers un siège luxueux et ont été servis dans des plateaux d’argent. A cette époque, voler était très important.
J’ai tout entendu de cette période extraordinaire par mon grand-père décédé. Il a débuté à l’âge d’or de Trans World Airlines (TWA) et est à bord depuis plus de 35 ans. Il a côtoyé tout le monde, de Marilyn Monroe à Howard Hughes.
Certains de mes souvenirs d’enfance préférés étaient d’entendre son histoire sur les premiers jours du transport aérien commercial.
J’ai des souvenirs de son ancien TWA et je le chérirai pour toujours. Certaines personnes aiment Disney et les films classiques, mais c’est le voyage qui vous fait ressentir cette chaleureuse nostalgie. Quand j’ai entendu parler du TWA Hotel à New York, j’ai immédiatement sauté en haut de ma liste de choses à faire. Lors d’un long arrêt ces dernières années, j’ai enfin eu la chance de voir s’il était à la hauteur des attentes.
L’hôtel est situé sur le terrain de l’ancien TWA Flight Center à l’aéroport international JFK de New York. Le centre a servi de terminal d’aéroport de 1962 à 2001. L’espace est très apprécié pour sa conception et est officiellement inscrit au New York City Monument et au registre national des lieux historiques. En regardant le terminal d’aujourd’hui, il semble petit, mais c’était la portée du voyage à l’époque. JFK exploite actuellement plus de 800 vols par jour, mais à la fin des années 1950, il comptait moins de 1 300 vols par semaine.
Je pense que beaucoup d’entre nous n’étaient pas au courant de la propagation du boom des voyages modernes jusqu’à ce que tout s’arrête en 2020. Au milieu d’une interdiction de voyager COVID, nous sommes soudainement revenus aux numéros de voyage alors que personne ne semblait aller nulle part. On l’a vu dans les années 50.